Qualité de l’air

La qualité de l’air est surveillée par ATMO Nouvelle-Aquitaine, grâce à un réseau de 7 stations fixes qui alerte les autorités en cas de prévision de dépassement des seuils réglementaires. Chaque jour l’indice de qualité d’air est publié et accessible.

Abonnez-vous aux alertes émises par ATMO (par courriel ou sms) ou aux comptes qui relaient les alertes sur les réseaux sociaux :

• Préfecture de Gironde,
• Bordeaux Métropole

ATMO propose également des widgets :

Widget Qualité air : Widget mon Air | Atmo Nouvelle-Aquitaine 

Attention aux publics vulnérables 

Nourrissons et jeunes enfants, femmes enceintes, personnes âgées, personnes atteintes de maladies cardiovasculaires et respiratoires chroniques, de diabète, ou dont le système immunitaire est affaibli doivent être particulièrement protégés. Les sportifs peuvent également être exposés, du fait de l’hyperventilation lors de l’activité physique. Mais n’importe qui peut être sensible à la pollution de l’air, et ressentir une gêne lors des pics de pollution.

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Adapter ses pratiques pour ne pas aggraver la situation

• Si possible, je reporte mes déplacements en voiture, particulièrement aux heures de pointe et sur les grands axes routiers, et j’abaisse ma vitesse de circulation suivant les consignes de la Préfecture.
• Je privilégie ces jours-là le recours aux transports en commun, au covoiturage, et si je peux, au télétravail.
• J’évite d’utiliser ma cheminée ouverte s’il s’agit d’un chauffage d’appoint.

Adapter ses pratiques pour se protéger

• J’évite les activités physiques et sportives intenses, mais je maintiens celles d’intensité faible à modérée, en extérieur et en intérieur.
• Je continue d’aérer mon logement comme à l’habitude.
• Je veille sur mes proches qui sont sensibles ou vulnérables.
• Si je suis un traitement médical, je vois avec mon médecin si celui-ci doit être adapté ;
• Si je ressens une gêne cardiaque ou respiratoire, je prends contact avec un professionnel de santé.

La qualité de l’air dépend en grande partie des activités humaines. Pour préserver notre santé et la qualité de l’air qu’on respire, les gestes quotidiens de tous comptent.

Mes déplacements : 

On le sait tous, il reste meilleur pour la santé de faire du vélo que de prendre la voiture. Contrairement aux idées reçues, c’est à l’intérieur de l’habitacle d’une voiture que l’on est le plus exposé à la pollution ! Et s’il est vrai que c’est dans le flux de circulation que les cyclistes sont en moyenne les plus exposés à la pollution, la qualité de l’air à vélo est néanmoins moins dégradée qu’en voiture. C’est une idée répandue que l'on est à l'abri dans son habitacle de voiture, mais elle est fausse.

• Je privilégie les transports en commun, le vélo et la marche à pied, le covoiturage, et j’utilise les parkings relais.
• Je privilégie les pistes cyclables séparées de la chaussée autant que possible. 
• Piéton, je passe par les axes les moins fréquentés.

Téléchargez la plaquette (format PDF) la plaquette ATMO :

« J’agis pour mon air »

Qualité de l’air intérieur :

L’air intérieur peut être jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur.  
Quelques moyens simples permettent de se prémunir de cette pollution : 

• Je veille au bon entretien de mon appareil de chauffage,
•  Si je me chauffe au bois, j’utilise du bois sec et de qualité, 
• Je ne fume pas à l’intérieur, 
• Je privilégie les produits d’entretien naturels ou labellisés pour le ménage (ou encore je les fabrique moi-même), 
• Je limite l’utilisation de produits type insecticides, désodorisants, encens ou parfums d’intérieur, 
• Je choisis des matériaux avec un faible taux de COV (particulièrement les colles et peintures), qui sont des substances qui se libèrent dans l’air pendant des années
• Je lutte contre l’humidité, qui peut entraîner le développement de moisissures,
• J’aère quelques minutes chaque jour, en essayant de privilégier tôt le matin et tard le soir en été, et en fin de matinée en hiver. A faire même en hiver lorsque les températures sont basses ; même lorsqu’une alerte pollution est en cours.

Rappel : le brûlage des déchets verts est interdit et polluant.
Rendez-vous dans les déchetteries