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En 2024, un sixième pont routier enjambera la Garonne à Bordeaux. Fruit de plusieurs années d’études et de concertation, le futur pont Simone-Veil incarne une nouvelle approche du franchissement urbain : lieu de passage adapté aux différents modes de transport, il se veut également espace public sur l’eau.
La réalisation du pont Simone-Veil s’inscrit dans le développement du sud de l’agglomération et offre à Bordeaux un nouveau 6e franchissement de la Garonne.
La construction de ce nouveau pont répond à plusieurs objectifs :
mètres de long
mètres de large
Poids de la charpente métallique en tonnes
voies pour la circulation automobile
voies réservées aux transports en commun
piste cyclable bidirectionnelle de 3 m de large
voie piétonne de 18 m de large
arbres plantés aux abords du pont
M€ TTC de budget global
Long de 549 m et large de 44 m, le pont Simone-Veil repose sur 8 piles supportées chacune par 4 tubes d’acier remplis de béton armé nommés fûts de pile. Chacun de ces 32 tubes mesure 23 m de profondeur et 2,5 m de diamètre.
La réalisation des fondations et des piles nécessite les opérations suivantes :
Au fur et à mesure de l’achèvement des piles, la charpente métallique du tablier de l’ouvrage est poussée par tronçons successifs au-dessus du fleuve, de la rive droite vers la rive gauche.
Le tablier du futur pont Simone-Veil se compose d’une charpente en acier de 5 800 tonnes supportant une dalle en béton (autrement appelée hourdis).
L’installation de la charpente nécessite plusieurs opérations :
La structure du pont est ensuite complétée et finalisée par la dalle en béton, une fois la charpente métallique intégralement posée.
La construction du pont Simone-Veil s’accompagne d’aménagements spécifiques sur les deux rives de la Garonne, ayant pour objectifs :
En amont du chantier, des déviations sont mises en place afin de maintenir la circulation sur les deux berges pendant toute la durée des travaux.
Le coulage de la dalle en béton correspond à la dernière étape de construction des éléments structurels du pont. Il est effectué « par pianotage », c’est-à-dire selon une technique répartissant équitablement et progressivement des dalles de béton sur toute la longueur du pont, pour en garantir la stabilité. L’objectif : assurer une bonne répartition des masses sur l’ensemble de l’ouvrage sans déformer la charpente.
Cette opération est réalisée demi-tablier par demi-tablier.
Une fois réalisés, les deux demi-tabliers sont ensuite réunis par clavage sur la partie centrale du pont.
Représentant du maître d’ouvrage :