Ode au romantisme
Stephanie Childress | Abdel Rahman El Bacha

Nouveauté pour cette saison 2025-2026 : réservez dès le vendredi 6 juin vos places à l’unité pour tous les spectacles de septembre sur opera-bordeaux.com, aux guichets du Grand-Théâtre ou par téléphone.
Orchestre
La cheffe franco-britannique Stephanie Childress, qui s’est imposée en l’espace de quelques années dans le paysage musical, prend la tête de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine pour un concert qui réunit XIXe et XXIe siècles.
Depuis son succès au Concours La Maestra à la Philharmonie de Paris en 2020 et sa nomination dans la catégorie Révélation des Victoires de la musique 2022, Stephanie Childress entretient une relation étroite avec la scène culturelle française et multiplie les collaborations avec les grands orchestres hexagonaux. Elle dirige une œuvre de la compositrice d'origine arménienne et finaliste en 2024 du Prix Pulitzer pour la musique Mary Kouyoumdjian. En regard, la Symphonie n° 1 de Schubert, premier essai encore assez classique, mais déjà très réussi, ainsi que le célèbre Concerto pour piano n° 2 de Chopin, interprété par Abdel Rahman El Bacha, dont les récents enregistrements du compositeur ont convaincu critiques et mélomanes.
Programme
Mary Kouyoumdjian, Tagh [Diary] of an Immigrant
Frédéric Chopin, Concerto pour piano n° 2 op. 21
Franz Schubert, Symphonie n° 1
Autour du concert
Mardi 23 septembre 17 h : Rencontre-conférence avec Stéphanie Childress animée par Olivier Delaunay, Grand-Théâtre (Les Amis de l'ONBA)
Ils ont dit :
« Stephanie Childress sait aussi bien emporter la fièvre passionnée des mouvements rapides et vifs. (…) La générosité et surtout la sincérité imprègnent sa direction »
(Olyrix – 05/12/2024 – José Pons)
« Main gauche arpégée, précision d’horloge, et des attaques main droite si majestueuses. El Bacha a une façon particulière de respirer, de poser la musique »
(RMT News international - 26/07/2024)
« Pianiste réputé pour les qualités émotionnelles de son jeu »
(Radio France – 25/11/2022)
« Beauté des timbres de l’instrument, maîtrise de tous les critères du jeu, tout concourait à un pur plaisir d’écoute »
(L’Orient Le Jour – 14/03/2025 – José René Letayf)