Et Dua Lipa a fait ça
Après la mort de David Bowie, un artiste de 58 ans, dont l’univers musical était bercé par l’œuvre de l’icône, se retrouve malgré lui en quête d’un substitut, une « méthadone vivante »

Après la mort de David Bowie, un artiste de 58 ans, dont l’univers musical était bercé par l’œuvre de l’icône, se retrouve malgré lui en quête d’un substitut, une « méthadone vivante » afin de combler le vide laissé par cette disparition.
Pendant plusieurs années, aucune nouvelle voix ne parvient à rallumer la fièvre de sa fascination. C’est alors qu’il découvre Dua Lipa un peu par hasard. Il décide à nouveau de concevoir une performance pour explorer cette force de magnétisme renouvelée, à travers une mise en scène mêlant rencontres, échos à ses héros déchus. Ce geste perpétue l’éblouissement et contribue à explorer les recoins mystérieux de sa propre construction.
« Cette performance offre une exploration de ce que la fascination peut produire intimement, touchant donc une forme d’universalité. Le projet entretient une connexion émotionnelle profonde et un partage d’expérience collective à travers les mécanismes universels, dont les enjeux politiques me semblent aujourd’hui impérieux. » – Renaud Cojo