Un budget ambitieux pour mieux se déplacer
Mis à jour le 29 décembre 2021
Elle sera financée comme suit :
Au total :
Deux principes forts sous-tendent cette politique
1) L'évaluation du ratio coût/bénéfice de chaque projet
Dans un contexte où les déplacements métropolitains sont responsables de 40% des émissions de gaz à effet de serre, de 50% de celles des particules fines et de 30% de la dépense énergétique, la dimension environnementale devient un axe prioritaire du plan d'actions “Mieux se déplacer”.
Chaque action a ainsi été examinée et retenue en fonction non seulement de ses performances sociales, économiques et financières, mais aussi de son impact environnemental et de son bilan carbone.
Les « modes actifs » (marche et vélo) sont ainsi privilégiés, de même que la mobilité électrique par l'installation de bornes de recharge, le prêt de vélos à assistance électrique...
L'évolution de la flotte de bus vers des véhicules propres (électriques et hydrogènes) se poursuit également, tandis qu'une Zone à Faible Émission est à l'étude. L'ensemble devrait permettre, en 2030, d'éviter le rejet de près de 160 000 kg de CO2 dans l'air par jour.
2) La concertation des habitants et usagers du territoire
Ce plan d’actions a été élaboré à la suite d’une large consultation.
6 ateliers à destination des différents maires et élus métropolitains se sont tenus, ainsi qu’une vingtaine de rencontres / ateliers de réflexion avec les grands partenaires (organismes, associations et entreprises du territoire). Les entreprises ont également été spécifiquement enquêtées.
En parallèle de ce travail de fond, une consultation en ligne a collecté plus de 3 500 participations citoyennes et un sondage IFOP a recueilli l’avis d’un panel de 1 500 personnes représentatives des habitants et usagers du territoire métropolitain.
Enfin, une conférence publique rassemblant citoyens, associations, entreprises et élus a permis de confronter les avis et d’échanger plus avant des solutions pour mieux se déplacer.